Découvrez la boutique en ligne de l'UNADIF 38, un espace dédié à la mémoire et à la transmission.
Vous y trouverez une sélection unique de livres écrits par d’anciens déportés, résistants ou leurs descendants.
Ces ouvrages, souvent témoins directs de l’Histoire, offrent des récits bouleversants, des analyses éclairantes et des témoignages précieux.
En complément de cette sélection, nous proposons également, tout au long de l’année, des places pour des événements liés au devoir de mémoire : projections de documentaires, conférences, rencontres, spectacles ou initiatives culturelles. Ces moments forts permettent de comprendre, de réfléchir et de faire vivre la mémoire autrement.
En parcourant notre boutique, vous contribuez à la mission de l’UNADIF : préserver la mémoire de celles et ceux qui ont lutté pour la liberté et transmettre leurs valeurs aux générations futures.
Faites un geste pour l’Histoire et la Mémoire en découvrant notre collection dès aujourd’hui !
BILLETERIE
Lundi 15 décembre 2025 à 16H30
À l’occasion de la projection exceptionnelle du documentaire « Nos chers prisonniers », réalisé par Éric Deroo et produit par La Huit Production, avec le soutien du ministère des Armées.
L’UNADIF 38 met gratuitement à disposition de ses adhérents et visiteurs du site un lot de places pour la séance organisée le lundi 15 décembre 2025 à 16h30 au cinéma Le Club au 9, bis rue du Phalanstère 38000 Grenoble.
L’invitation est proposée par Paul Moutin (Président) et Carole Delubac de La France Mutualiste.
À l’issue de la projection, un cocktail sera offert par La France Mutualiste dans ses locaux, situés à quelques minutes du cinéma, au 25 cours Berriat à Grenoble.
Fin des réservations
Extrait : Un SS hurle en allemand. Vincent ne comprend pas cette langue. Il ne comprend pas qu’on
appelle son matricule. Mais quand le SS s’approche et qu’il prend une gifle magistrale, il comprend…
Ce numéro, VIERZIGTAUSENDZWEIHUNDERT-FÜNFZIG, c’est donc à coup de claques et de
schlague qu’il l’apprend.
Il raconte : « Pendant 16 mois dans l’enfer concentrationnaire de Buchenwald-Dora, je n’avais plus
de prénom, plus de nom. J’étais devenu le 40250. »
